Apparu en fin d’année 2019 en chine, le covid-19 n’a épargné personne en se propageant partout dans le monde.
Sur L’île rouge cette crise sanitaire ont obligé aux autorités de prendre des mesures drastiques. Comme un confinement dans tout le pays, cela n’a fait que renforcer la pauvreté à Madagascar.
Cette crise sanitaire a eu de grosses répercussions sur le centre enfant de joie et son école. Le centre étant dépendant des partenaires à l’étranger pour la survie vie du centre, ainsi que de son financement, le centre s’est donc retrouvé démuni de son travail, ainsi que de ses aides extérieures à la suite des mesures annoncées dans le pays. Le confinement a stoppé toutes les activités du centre.
Les activités du centre qui ont été suspendu :
– Les activités en question sont l’hébergement des services civiques et des stagiaires étrangers, devenu impossible à cause de la fermeture des frontières.
– La fermeture de l’école stoppant la scolarité des enfants, ainsi que l’arrêt du travail des enseignants et du personnel. La scolarité est devenu payante pour les parents d’élèves depuis la crise sanitaire, car le centre n’était plus en capacité de financer les salaires de ses employés.
-La vente des poules a cesser à cause du confinement, contraignant toute l’installation en place des poulaillers et entrainant l’endettement du centre à cause des charges pour l’électricité.
Les conséquences de cette crise sanitaire :
– Les parents d’élèves ont été également très impacté, beaucoup d’entre eux se sont retrouvés au chômage suite au confinement et ne sont plus en capacité de financer la scolarité de leurs enfants. Il faut savoir que le smic à Madagascar est à 200.000 ariary ce qui représente 44€. La scolarité d’un enfant coûte 15.000 ariary ce qui fait 3,33€ mensuellement, l’uniforme coûte 4€. Cela revient donc à un salaire en moins annuellement pour les parents.
L’établissement scolaire avant l’apparition de cette pandémie l’école comptait environ 1300 élèves, aujourd’hui en Mars 2022 l’école ne compte plus que 238 élèves. En seulement deux années la scolarité de plus de 1000 élèves est devenu instable, ce qui représente plus de 80 % des élèves, seulement 20% des parents d’élèves étaient dans la mesure de continuer à payer la scolarité de leurs enfants. Certains élèves ont pu bénéficier de la gratuité de certaines écoles publiques, malgré cela beaucoup de ces écoles n’ont pu récupérer qu’une minorité des élèves, car elles sont dans l’incapacité d’accueillir d’autre élèves tant les écoles sont saturés. Pour beaucoup d’enfants la scolarité est désormais inaccessible, ils se retrouvent dès le plus jeune âge à travailler afin que leurs familles est de quoi vivre.
Le centre enfant de joie retrouve petit à petit une stabilité depuis la réouverture des frontières, pouvant enfin rétablir la collaboration avec ses partenaires au sein du centre et de l’école, le centre enfants de joie est actuellement à la recherche de nouveau partenaires. Le centre compte sur la solidarité de chacun afin de participer au bon fonctionnement du centre.
Nos solutions :
Pour cela nous avons mis en place un plan de parrainage pour les enfants du centre afin que chaque enfant ne soit plus dans l’incertitude quant à sa scolarité ainsi que de son avenir au sein du centre. Nous vous y invitons à jeter un coup d’œil sur notre page « parrainage« .